belle belval chez coeur ecotrail femmes fleurs histoire jeune méditation nuit
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· Sport (2095)
· Au gré de mes balades (146)
· Botanique (50)
· Histoire locale (52)
· Febvin-Palfart : mon village (66)
· Vie religieuse à Febvin (34)
· L'Agriculture à Febvin-Palfart (16)
· Généalogie (15)
· Photos des Parcours Trail (43)
· Parcours Trail AUDOMAROIS (62) (15)
bonjour, sur votre photo, j'ai retrouvé reine lardeur. je lui fais une surprise pour son anniversaire. pourrie
Par Anonyme, le 14.09.2025
bonjour je suis la fille de patrick tanfin et c'est grand parents vivez à attin dans le pas de calais j'aurais
Par Anonyme, le 20.07.2025
j ai 50 ans et eu la chance de voir abel
travailler avec ses chevaux. sa ferme était juste a côté de la ferm
Par Anonyme, le 27.04.2025
https://fr.wik iloc.com/itine raires-randonn ee/ceinture-de -boulogne-sur- mer-66002595
Par Anonyme, le 17.08.2024
un article très touchant
Par Anonyme, le 20.06.2024
· L'ail sauvage
· Une boulangerie à Febvin-Palfart dans les années 1910 ???
· La féverole
· Décès et Eloge funèbre de l'Abbé Jules COUBRONNE
· Génépi : cueillette vertigineuse et périlleuse !
· Le Parc Marguerite Yourcenar au Mont-Noir
· Jacinthe des Bois
· La moisson à l'ancienne en 1980
· Les ruches à cadres
· Prix COGNACQ-JAY décerné à une famille Febvinoise
· Ceillac, Tête de la Cula et Cols du Cristillan (3)
· Melilot officinal
· Au fil de l'eau dans l'Audomarois
· mariage 1930
· crohem
· Bomycartepostale
· Bomyphoto
· Decouvertebomy
· Un trailer du Lillérois
· Un trailer du Pernois (le Père)
Date de création : 12.04.2008
Dernière mise à jour :
07.12.2014
2794 articles
Une bonne semaine de repos fut nécessaire pour récupérer des 24h de l’Echo.
Je repris le chemin de l’entraînement le dimanche 29 juin, sous une petite pluie fine continue, avec un petit parcours trail en me retrouvant sur le secteur entre Amettes et Bailleul-les-Pernes à contre-sens des nombreux VT-tistes engagés dans la Lespessiale. Il leur fallut beaucoup de courage, encore plus qu’à moi, pour braver le terrain hyper-boueux, les obligeant à pousser les VTT. Ce fut l’occasion de rencontrer quelques connaissances qui semblaient bien en baver !
13,80 km en 1h 11min avec un dénivelé positif de 200m.
Puis, le dimanche 6 juillet, toujours sous la pluie, ce fut un repérage du futur Fabien Trail Tour entre Febvin et Bomy.
28,30 km en 2h 28min avec un dénivelé positif de 445m.
Le dimanche 13 juillet, la pluie continuait à jouer les trouble-fêtes, je renonçai à n’emprunter que les chemins, privilégiant plutôt les petites routes macadamisées de la campagne, entre Febvin et Serny.
25,20 km en 2h 05min avec un dénivelé positif de 290m.
Enfin, le lundi 14 juillet, le soleil avait décidé de faire son retour (il était temps !) dans notre région.
Tant mieux car c’était l’après-midi choisi pour emmener Fabien, l’organisateur des 24h de l’Echo, sur mes terres.
En traçant ce parcours, je répondais à la demande de Fabien qui souhaitait courir, sur une distance comprise entre 20 et 30km, sur le territoire de Febvin-Palfart et ses environs en vue de ses prochaines échéances sportives.
Bien entendu, je tablai sur la fourchette haute de la distance avec une boucle d’environ 30km. Ce parcours (le Fabien Trail Tour) comporta quelques longueurs (environ 6 km) de petites routes de macadam inévitables pour maintenir cette distance et éviter le hors-pistes. Mais il permit de donner un aperçu d’une partie de Febvin, des atouts et « atours » de Bomy, d’Erny et d’Enquin-les-Mines tout en traversant différents milieux naturels, en longeant quelques petites rivières, le tout avec un dénivelé non négligeable.
L'une des rares photos prises pendant la sortie !
Les deux ravitaillements sur le parcours ne furent pas de trop tant nous transpirâmes, n’étant plus habitués à la chaleur !
Un excellent après-midi, avec la joie de partager et de faire découvrir « mon pays »
29,15 km en 3h 17min avec un dénivelé positif de 470m.
Le parcours : ICI
La GRP de la Lys et le Chemin de Brunehaut vers le Mont d'Aire
Le Puits Sans Fond en bas du Chemin à Cailloux
Pour ce dimanche 25 mai, en guise de préparation au Trail des Pyramides Noires, la séance du jour consistait à « bouffer » du dénivelé en enchaînant les monts qui entouraient Febvin-Palfart et Fléchin, le genre de séance que je n’affectionnais pas particulièrement surtout lorsqu’il s’agissait de reprendre plusieurs fois les mêmes chemins, les mêmes côtes.
Mais à quoi bon aller si loin lorsqu’on avait ce qu’il fallait sur place !
Le Mont à Bruin, le Mont à Saul
Panorama sur la Cordillère des Flandres depuis le Mory
Vue sur le village de Febvin-Palfart depuis le Mory
Mont d’Aire, Pippemont, Chemin à Cailloux, Mont à Bruin, Chemin du Mory, Chemin des Morts, Chemin de Wibertin, il y avait de quoi bien s’essouffler et de bien faire chauffer les cuissots tout en profitant des beaux panoramas et de la nature en plein épanouissement.
Le Chemin des Morts et vue sur la Grande Croix
28,50 km en 2h 21min avec un dénivelé positif de 570m.
Dimanche 2 mars, à l’image du dimanche précédent, je poursuivis mon entraînement sur macadam.
Quel bonheur de ne pas avoir à nettoyer les chaussures !
Après le parcours plutôt Sud de la semaine précédente, je m’attaquai au territoire au Nord-Ouest de Febvin-Palfart, sans kilométrage préétabli.
Cela se traduisit par une boucle de 31 km en 2h 28min avec un dénivelé positif de 360m, sur les hauteurs de l’Audomarois - Pippemont-Cuhem-Erny-Saint-Julien-Bomy-Reclinghem-Beaumetz-les-Aire-Laires.
Dimanche 23 février, j’étais parvenu complètement à saturation des chemins boueux de notre si « belle et humide » région.
Etant donné que ma décision de ne pas participer au Trail des Poilus était devenue irrévocable, mais qu’un autre projet mûrissait petit à petit pour le remplacer, je choisis délibérément de faire une longue sortie macadam.
De ce côté, inutile de me casser la tête à un éventuel circuit, ce n’était pas les chemins vallonnés qui manquaient autour de Febvin-Palfart.
Des hauteurs du Haut-Pays à la Vallée de la Nave via le Ternois, Laires-Prédefin-Heuchin-Hameau de Quévaussart-Fiefs-Nédonchel-Fontaine-les-Hermans : tel fut l’itinéraire du jour, soit une boucle de 29,80 km en 2h 18min avec un dénivelé positif de 345m (finalement peu !).
Dimanche 2 février, direction Maisnil-les-Ruitz alors que le soleil commençait à pointer le bout de son nez.
Vite, vite, il devait parvenir au sommet de l’un des deux terrils du Pays à Part pour immortaliser ce lever.
Et me voilà parti à grandes enjambées sur le premier sentier - bien boueux, plein de grandes flaques - qui passait au pied des Jumeaux. Je m’arrêtai pour une première photo.
Dans la précipitation, la dragonne de l’appareil-photo quittait mon poignet en même temps que mon gant, je n’eus le temps que d’apercevoir la chute de l’appareil et l’objectif ouvert s’enfoncer tout doucement dans la boue. Oh m…. !!! Après un nettoyage sommaire, l’objectif commença à émettre le sinistre gémissement d’une agonie très prochaine, à laquelle je compatissais. Je parvins à ne réaliser que quelques clichés avant qu’il ne me lâche. Paix à son âme !
Une ascension et un tour de chacun des Jumeaux d’Haillicourt avant de découvrir le cavalier minier en direction de la zone industrielle de Ruitz, un secteur que je n’avais encore jamais foulé, avec vue sur le centre et l’église d’Haillicourt mais aussi sur ce maintenant célèbre terril conique n°2 bis, depuis que l’on y avait planté des vignes sur l’un de ses versants.
Je parvins ainsi au coeur de la cité des Oiseaux, située au pied de ce terril. Une séquence souvenir, celle de la fameuse sortie Off des Pyramides Noires de la Confrérie des Horizons. L’envie était trop forte de revoir ce terril encore en combustion avec son cratère et ses fumerolles. Je m’attaquai à la montée mais après seulement quelques mètres, je fis demi-tour, peu téméraire, ne sentant pas la descente bien trop raide. Il y avait déjà eu suffisamment de casse sans en rajouter.
Après un passage au pied de ce terril et un peu de macadam, je me lançai dans un chemin herbeux à peine visible, longeant une espèce de fossé.
Au bout, je retrouvai un autre cavalier minier qui n’avait pas encore été transformé, jusqu’au bout, en voie verte. Envahi par les ronces, je m’acharnai à me frayer un chemin, mais très vite, je compris qu’il me serait impossible de passer. Je suivis au plus près la trace sur le GPS, et me retrouvai sur le site du Pays à Part.
Plutôt que d’emprunter l’accès classique, je repérai un début de chemin, je m’y engageai et me retrouvai au pied d’un terril boisé, celui des Glachoires. Les premiers pas sur le terril furent aisés mais très rapidement les choses se compliquèrent, la végétation avait repris ses droits, surtout les ronces, rendant le passage très compliqué. D’autre part, le lieu avait servi, à une époque, de décharge. A force de persévérance et en dépit de nombreuses égratignures, je réussis à m’extraire de ces fourrés pour reconnaître toute la partie boisée des Glachoires dans laquelle je serpentai avant de me diriger une nouvelle fois vers les terrils Jumeaux pour une dernière ascension, achevant ainsi la partie minière.
Via Maisnil-les-Ruitz, je me dirigeai vers la forêt d’Olhain pour une boucle bien classique, assez proche du parcours du Trail des Poilus, en longeant le Golf avant de remonter toute la partie en dévers, en lisière de la forêt.
Près de 10 km de galère sur les sentiers hyper-boueux et complètement défoncés, rendant l’entraînement très pénible. Ma décision était prise : je ne participerais pas au Trail des Poilus, craignant de ne prendre aucun plaisir à me débattre dans de tels chemins sur plus de 50km.
Je regagnai Maisnil-les-Ruitz après 29 km en 2h 55min avec un dénivelé positif de 940m.
Dimanche 19 janvier.
Bon… Bah… Encore un dimanche peu réjouissant, avec une météo du même acabit, un soleil jouant au chat et à la souris avec les nuages très menaçants.
Aucun parcours programmé, je me rabattis donc sur un parcours trail autour de Febvin-Palfart, sur un terrain bien gras, qui m’emmena sur une partie du GRP de la Lys,
le long de la Lacquette sur Serny et Enquin-les-Mines avant de traverser le bois de Bomy et de faire le tour de ce village
avant de m’attaquer à la plus grosse difficulté du parcours, à savoir le Mont de Groeuppe par son bois. Seul le retour à Febvin-Palfart via Laires s’effectua sur une bonne portion de macadam.
Un entraînement de 28,90 km en 2h 25min avec un dénivelé positif de 395m.
Deux dimanches successifs presque identiques quant au territoire parcouru, à savoir les alentours d’Amettes mais l’un en trail, l’autre quasiment entièrement sur macadam.
Volontairement, les distances furent écourtées pour cause de traitement des calcifications calcanéennes aux ondes de choc.
Le 8 décembre : 24,30 km en 2h 05min avec un dénivelé positif de 250m.
Le 15 décembre : 19,50 km en 1h 37min avec un dénivelé positif de 285m.
L’occasion de passer et de repasser par cet endroit magique qu’était le sentier longeant la Coqueline et au cœur du bois de Bailleul-les-Pernes encore plus boueux qu’à l’accoutumée.
Malheureusement, j’avais raté de peu la Bigorex Team lancée à VTT dans « la Lapavuphildefer » à la recherche de « l’animal ».
Et pourtant nos chemins s’étaient croisés à plusieurs reprises !
Dimanche 17 novembre, je me retrouvai dans le même cas de figure que la semaine précédente, à savoir une nonchalance manifeste entretenue par les douleurs permanentes des talons et par une météo pluvieuse qui continuait à me miner.
De plus, je n’avais aucun tracé en cours d’élaboration malgré l’envie de courir ailleurs que sur « mes terres ».
Ne me supportant pas dans cet état, je parvins à me secouer, assez tardivement dans l’après-midi, à un moment où le soleil fit une timide apparition. Je pris la direction d’Hesdin.
Un peu à l’image de l’homéopathie, « guérir le mal par le mal », je choisis de souffrir à nouveau sur le parcours du Défi Vert de l’Hesdinois, celui-là même qui m’avait laissé des séquelles continuelles au niveau des talons au point de m’obliger à consulter (il n’était pas trop tôt depuis deux années à être ennuyé !).
Le verdict : de belles épines sous-calcanéennes bilatérales aucunement douloureuses mais surtout de fines calcifications hérissant les faces postérieures des calcanéums à la zone d’insertion des tendons d’Achille, toujours bilatérales, excessivement douloureuses. Aussi, avant de traiter ces lésions, je profitai probablement des dernières sorties avant une pause obligée.
Je démarrai de la gare d’Hesdin alors que le soleil se cachait à nouveau, à mon grand désarroi car j’espérai pouvoir profiter pleinement de la forêt d’Hesdin à une saison que j’affectionnai particulièrement pour la féérie des couleurs.
Après un échauffement jusqu’à Huby Saint-Leu et un chemin à l’orée du bois, je plongeai dans la forêt pour ne plus en ressortir… Enfin si… Mais avec beaucoup de mal...
Tout commença plutôt bien, retrouvant facilement les premiers chemins du Défi Vert, consultant rarement la trace sur le GPS. Je m’enivrai des couleurs automnales, prenant le temps d’immortaliser les milliers de jaunes, de bruns, d’ocres, de pourpres qui se fondaient dans les arbres qui se dépouillaient petit à petit de leurs feuillages formant au sol un magnifique tapis mordoré, masquant par endroits la boue qui fut omniprésente. Seuls manquaient à ce décor quelques rais de soleil pour sublimer et intensifier ces ors.
Au carrefour où se tenait le ravitaillement, j’optai pour un détour en direction de Cavron Saint-Martin, sortant alors de la forêt domaniale par un long chemin herbeux occupé de part et d’autre par des chasseurs. Les uns prévenaient les autres de mon passage, cependant des salves de tirs résonnèrent si bien que je fis demi-tour alors que le village de Cavron se profilait.
Je retrouvai l’univers forestier resplendissant puis le Garmin 310XT, comme à son habitude, se mit à faire des siennes, décidé à m’empoisonner ma sortie dominicale, avec un tracé qui disparaissait continuellement de l’écran, à des moments où je doutai des directions à prendre.
Je me retrouvai en plein milieu d’une grande allée forestière croisant quelques promeneurs (qui ont dû se moquer, car perdu avec un GPS !!!) qui vinrent à mon secours me voyant égaré, cherchant plutôt l’étroite sente à emprunter. Connaissant un peu le parcours du Défi Vert, ils m’envoyèrent dans une mauvaise direction (en fait sur mes premiers pas !).
Enfin le GPS daigna revenir de temps en temps à mon secours. Ce fut alors un peu une orientation à l’aveugle. Seulement, le temps s’écoulait en même temps que la luminosité se réduisait dans le sous-bois.
Je traversai la départementale Fruges-Hesdin pour m’engager dans la seconde partie de la forêt. Je ne m’inquiétai pas trop, connaissant assez bien la partie jusqu’aux abords de Grigny, en fait jusqu’à l’endroit où se trouvait le 2ème ravitaillement du Défi Vert.
Car pour la suite, la partie où l’on entrait à nouveau dans la forêt, j’étais plus sceptique. La pénombre s’installa alors. Je n’avais pas eu la lueur d’esprit d’emporter la lampe frontale. Il ne me restait plus qu’à accélérer la cadence pour sortir de la forêt et atteindre Grigny avant la nuit complète.
Malheureusement, je ne pus compter sur l’aide du Garmin qui éclipsa l’itinéraire de l’écran. Je me retrouvai à une intersection de plusieurs sentiers très étroits sans savoir lequel prendre. Je tâtonnai, m’engageant dans l’un, revenant sur mes pas, en prenant un autre, espérant retrouver la trace. En vain…
Une panique m’envahit. Je me voyais déjà passer la nuit dans la forêt avec comme seules réserves alimentaires deux barres de céréales et une petite réserve d’eau.
Pas même une couverture de survie alors que la température locale chutait.
Je m’arrêtai quelques secondes pour faire le point et analyser la situation. Je devais absolument retrouver la grande allée forestière croisée auparavant. Ce serait ma seule issue.
A force d’avoir tourné, je ne savais plus de quel côté je venais.
Au pif, par ici, une grande descente vers un endroit profond, humide et encore plus obscur. Demi-tour, à grandes foulées, je m’épuisai en même temps que mon cœur s’emballait. Retrouver mon calme pour prévenir toute défaillance. Une autre direction, par-là, quelques centaines de mètres plus loin, l’allée forestière susdite.
Un grand ouf de soulagement ! Un peu de réflexion…
De quel côté me lancer et pour arriver où ?
C’était parti pour presque un fractionné sur cette ligne droite interminable.
Des phares surgirent à une intersection, une automobile. Je lançai les bras en l’air pour l’arrêter. Probablement invisible, la voiture continua sa route et moi la mienne.
Au bout de quelques minutes, je tombai sur la départementale Fruges-Hesdin. J’étais sauvé ! Je l’empruntai pour redescendre sur Hesdin, en courant sur le bord gauche de la route, dans la nuit complète, affolant les voitures qui défilaient et qui m’apercevaient au dernier moment. Au bout de plusieurs kilomètres, je traversai Huby Saint-Leu et retrouvai la gare d’Hesdin après 3h 15min et 33,85 km avec un dénivelé positif de 890m.
Dimanche 22 septembre 2013
Bizarrement un départ de Maisnil-les-Ruitz.
La raison ?
Probablement dans le but d’escalader les terrils d’Haillicourt.
Sauf qu’il n’y a pas eu de crapahutage sur les terrils jumeaux.
Allez comprendre ?
Ne cherchez pas, tout simplement dans le coaltar à l’image de la météo du jour qui était excessivement brumeuse, avec une sensation de moiteur.
Un parcours essentiellement dans la forêt d’Olhain, où se disputaient les finales des championnats de France des Clubs de Duathlon.
Avec une grande partie des sentiers empruntés par le Trail des Poilus, Verdrel, Fresnicourt-le-Dolmen, le Golf, avec un passage devant le château d’Olhain et un retour par Rebreuve-Ranchicourt avant de remonter dans la forêt.
Une boucle de 24km en 2h 04min avec un dénivelé positif de 590m.
Dimanche 16 juin, direction Haillicourt et son Pays à Part pour un entraînement sur les terrils jumeaux en compagnie de la Bigorex Team.
Invité pour 6h du matin sur place, je renonçai à ce réveil auroral pour décaler la séance à 7h. Avec un petit effort, je parvins à rejoindre le groupe aux alentours de 6h45 pour un « Triple-Double » c’est-à-dire, clairement 10 montées de terrils - 10 km dans la forêt d’Olhain – 10 montées de terrils. Un bien beau programme.
A mon arrivée, 3 montées avaient été effectuées par Valérie, Philippe, Antoine, les 2 Laurent et Hervé, je pris le convoi en marche, suivant bien sagement le groupe, ce qui me permit de surprendre et de comprendre les nombreux quolibets qui firent la « bonne » ambiance de ce Team qui ne se prenait pas la tête.
A 8h alors que certains quittaient prématurément le Team, Pascal fit son apparition. C’était ça aussi la Bigorex Team, rien n’est imposé, tout est proposé…
Après cet échauffement des cuissots, l’heure fut venue de nous rendre vers la forêt d’Olhain pour y effectuer une boucle et de nous rendre sur le terrain qui serait le nôtre le prochain week-end et surtout de montrer la boucle des 24h aux futurs petits nouveaux Circadiens. Philippe, un peu désorienté – à croire qu’il n’avait pas suffisamment tourné lors des précédents 24h - tenta… en vain…. de semer les petits nouveaux. C’était sans compter sur moi qui les remis sur le droit chemin et les prévins d’un changement de la boucle et d’un probable passage dans la salle des sports (selon les bruits qui m’étaient parvenus…).
Après ce passage au vert, nous repartîmes sur les terres noires pour la troisième partie de la séance. Laurent et Hervé nous quittèrent à leur tour tandis que le reste de la troupe se dirigea vers les pyramides noires.
Cette fois, je m’attaquai aux terrils à mon rythme, n’hésitant pas à mouiller le tee-shirt, prenant une bonne avance sur les autres que je retrouvai régulièrement. Laurent et Pascal se contentèrent de 4 terrils, je m’en enquillai 7 laissant Philippe achever seul son « Triple Double » avec la pugnacité qui faisait sa force et qui lui réussissait plutôt bien depuis quelque temps.
Un entraînement de 4h 28 min pour 28,40 km avec un dénivelé positif de 1600m.
Crédit Photo : Bigorex Team